🦷 Prévention Dentaire en France : la vérité sur un retard qui pénalise des millions de Français
Par Gérald DEMEYER Président fondateur d'ASSURMEYER
Modifié le : 24/12/25 à 10h15
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📰 Résumé exécutif :
Depuis plusieurs décennies, la politique française de prévention dentaire est figée dans un modèle dépassé. Les éléments présentés ci-après mettent en lumière l’existence d’une stratégie d’influence mise en place dès les années 1980, au détriment manifeste de l’intérêt général.
Conçue pour un autre contexte sanitaire, social et assurantiel, cette politique repose encore aujourd’hui sur des solutions obsolètes. Ce système d’influence a entraîné trois dérives majeures :
➡️ Une exclusion sanitaire massive :
Près de 80 % de la population française, principalement les adultes, est exclue des dispositifs de prévention dentaire primaire, en contradiction avec le principe constitutionnel garantissant le droit fondamental à la protection de la santé pour tous.
➡️ Un gaspillage financier structurel :
Chaque année, les Français dépensent des milliards € en soins curatifs évitables. Dans le même temps, des millions € d’argent public continuent d’être alloués à des dispositifs préventifs vieux de plus de 30 ans, tandis que 0 € est investi dans des solutions de prévention innovantes, dont la vocation première est pourtant de protéger durablement la santé orale de la population. Par ailleurs, certains projets de prévention subventionnés à hauteur de plusieurs millions €, comme
EXPRESO, s'achèvent bizarrement par un échec rapide.
➡️ Une connivence institutionnelle :
Un concurrent, profitant du jeu de chaises musicales historique entre le ministère de la santé et l'Assurance Maladie, est parvenu jusqu’ici à imposer dans les appels d’offres publics de prévention dentaire lancés chaque année en France
une définition des besoins précisément alignée sur les solutions de son groupe privé. Cette situation a étouffé toute concurrence sérieuse dans ces marchés publics, et donc freiné l’innovation en matière de prévention primaire dans le secteur dentaire.
Voici des extraits audios permettant de comprendre la mécanique d'influence que ce concurrent a construit tranquillement sur le territoire national depuis les années 80 auprès des ministres de la santé successifs et de la direction générale de la santé
(DGS) 🎤
extrait podcast, des CPAM et de la CNAM 🎤
extrait podcast etc., au point d'être aujourd'hui très clairement le véritable architecte de la politique de prévention dentaire menée ces 4 dernières décennies en France par l'Etat et l'Assurance Maladie.

Préambule :
La vérité dénoncée dans cette page aurait pu demeurer éternellement dissimulée si je n’avais pas fait le choix, en tant que simple citoyen français, de la rendre publique.
En effet, les chirurgiens-dentistes sont soumis à un strict devoir de confraternité : il leur est interdit de dénoncer publiquement l’organisation de leur profession, et plus encore les agissements fautifs d’un confrère ou d’une consœur, sous peine de sanctions sévères pouvant aller jusqu’à la radiation, dès lors que cette dénonciation est considérée comme portant atteinte à l’image de la profession par leur Ordre.
À ce titre, un chirurgien-dentiste radié pour avoir révélé certains faits impliquant cet Ordre, dont
le train de vie a fait l'objet d'
un rapport de la Cour de comptes suivi d'
une enquête pénale, expose de manière très explicite l’existence de cette omerta organisée dans une vidéo particulièrement éloquente intitulée :
IL EN SAVAIT TROP.
Bonne lecture !

" Que vaut la réussite scolaire ou un diplôme si une connexion politique suffit à trouver un emploi ? Pourquoi créer son entreprise si des concurrents peuvent user de leur influence politique pour remporter des contrats ? "
Cet extrait d'un article de presse du journal Le Monde paru sous le titre
Une révolte contre le « capitalisme de connivence », résume à lui seul le ras-le-bol actuel de la majorité des Français, dont je fais partie.
Entrepreneur issu d'un milieu modeste, j'ai grandi dans un environnement social marqué par le phénomène du
déclassement que subissent tant de familles de la
classe moyenne, souvent victimes, sans toujours en avoir conscience, de ce
capitalisme de connivence. Ce système, à l'opposé du capitalisme classique, s'attaque à tout processus démocratique, pour permettre à un petit nombre d'initiés de s'accaparer dans un pays les richesses produites par le plus grand nombre.
Très jeune, j’ai ainsi perçu les limites et les ambiguïtés de la
méritocratie républicaine à la française, tout en découvrant progressivement le sens profond de cette
règle d'or : " Traite les autres comme tu voudrais être traité " ou " Ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu'on te fasse ".
C'est pourquoi, guidé par une vision profondément enracinée dans les valeurs humaines et universelles, je considère que tricher en démocratie, ou être complice d'un
appel d'offre faussé dans lequel le bénéficiaire d'un marché public est désigné à l'avance, revient à trahir avant tout celles et ceux qui, chaque jour, se lèvent tôt, travaillent dur et honnêtement, et élèvent leurs enfants dans la dignité et le respect mutuel.
C'est également nourrir la colère et la frustration quotidienne de citoyens qui se sentent abandonnés et trahis par les responsables politiques, au bénéfice d'un
populisme, dans sa forme la plus dangereuse
pour la démocratie, et d'un
séparatisme qui ne cessent de progresser depuis plusieurs années, en France comme ailleurs dans le monde.
Autrement dit, la probité n’est pas un vain mot à mes yeux, c'est un engagement quotidien envers la justice sociale, envers les plus modestes, envers la vérité !
Confronté depuis des années à un pacte de connivence solidement ancré dans le secteur dentaire hexagonal, par le biais d'
atteintes à la probité orchestrées discrètement par des concurrents auprès de l'Etat et du réseau de l'Assurance Maladie, j'ai donc décidé de ne plus me taire et de partager ici ma propre expérience.
Et pour cause : la santé orale des Français, en particulier issus
des quartiers défavorisés, a-t-elle été sacrifiée jusqu'à présent afin de favoriser en France le développement du marché du chewing-gum sans sucres, et de préserver au passage les milliards € générés par les maladies bucco-dentaires ?
Malheureusement, de nombreux éléments laissent penser que oui.
Il est donc 🚨 URGENT 🚨 que cette situation honteuse soit révélée à l'opinion publique française, avec des preuves documentées à l’appui obtenues lors d'une enquête minutieuse menée sur plusieurs années, pour enfin développer en France une politique de prévention dentaire digne de ce nom, sans conflit d'intérêts avec les Français, conformément au
plan dentaire mondial lancé en 2023 sous l'égide de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
En effet, il n'est pas cohérent de s'engager devant les 194 Etats membres de l'OMS en matière de prévention dentaire, ou d'affirmer publiquement que la santé bucco-dentaire constitue un
Enjeu majeur de santé publique, et de prétendre vouloir
augmenter l'accès à l'éducation pour la santé, à la prévention et aux soins buccodentaires de toutes et de tous, tout en menant, dans les faits, des actions contraires à ces objectifs.
Parmi ces incohérences figure notamment la persistance d’une discrimination en matière de prévention dentaire à l'égard des adultes, comme si ceux-ci ne faisaient toujours pas pleinement partie du " toutes et de tous " censé avoir droit à une bonne santé orale. Pourtant, le ministère de la Santé et l’Assurance Maladie ont la responsabilité constitutionnelle de protéger la santé bucco-dentaire non seulement des enfants, mais aussi des adultes.
Entre jeu de dupes dans des marchés publics de plusieurs centaines de milliers € chaque année, et double discours en prévention dentaire ... jugez par vous-même !

Tout a commencé pour moi en 2001, lorsqu'à 26 ans je décide de créer l'association
Point Dentaire, spécialisée en promotion de la santé bucco-dentaire (prévention primaire), afin de développer en France
un mobilier urbain dédié à l'hygiène dentaire, que j'avais inventé en même temps qu'un programme de coaching en prévention dentaire.
L'objectif final avec cette association était de répondre aux nouveaux besoins exprimés par les Français dès cette époque en matière d'hygiène dentaire hors domicile, tout en comblant au passage une carence stratégique dans la politique de prévention dentaire menée en France. Avec à la clé, la création de nombreux nouveaux emplois.
Cependant, rien ne s'est passé comme prévu, et ce que je pensais être au départ une carence, n'était en réalité pas un hasard.
En effet, à cause d'une stratégie de connivence mise en place par un concurrent à partir des années 80, pour étouffer notamment l'innovation et ses concurrents dans les appels d'offres de prévention dentaire lancés chaque année par l’Assurance Maladie sur l’ensemble du territoire national, j'ai été contraint d'abandonner l'idée de développer mes (premières) innovations de prévention dentaire en France, du fait que ces marchés publics représentaient à l'époque, et représentent encore aujourd'hui, la principale, pour ne pas dire l'unique, source de revenus pour un acteur spécialisé dans la promotion de la santé bucco-dentaire.
En clair : sans le soutien financier de l'Etat ou de l'Assurance Maladie, par le biais des procédures de
subvention et marché public, impossible pour un nouvel entrant spécialisé (uniquement) en prévention dentaire primaire de survivre financièrement en France, puisque les assureurs
(Sociétés d'assurance, Mutuelles, Institutions de prévoyance) investissent peu dans l'Hexagone en prévention santé primaire, pour des raisons de contraintes législatives et de fortes pressions concurrentielles. 1
PROTÉGER SA SANTÉ ORALE EN FRANCE N'EST PAS UNE FAVEUR
C'EST UN DROIT FONDAMENTAL POUR TOUS !
Si j'ai pu découvrir, un peu par hasard, cette situation, c'est grâce au fait que j'ai été particulièrement précurseur au début des années 2000 en souhaitant (naïvement) apporter de véritables solutions concrètes et innovantes de prévention dentaire à l'ensemble de la population française, sans discrimination d'aucune sorte, puisqu'en France, le droit à la protection de la santé, y compris orale, est
un droit fondamental à valeur constitutionnelle placé en haut de
la hiérarchie des normes pour tous les
(assurés sociaux) Français, sans distinction d’âge, d’état de santé, de niveau de revenus, d’éducation ou de résidence.
Ce droit, qui est
de la responsabilité de l'Etat, " doit être mis en œuvre par tous moyens disponibles au bénéfice de toute personne ". Une obligation de moyens rappelée à l'
Article L1110-1 du csp.
Pourtant, une majorité de Français ne bénéficie toujours pas à ce jour de ce droit à la santé orale. Alors même que des solutions préventives existent au bénéfice (possiblement) de tous, mais que l'Etat refuse pour le moment de financer en tant que débiteur des
droits-créances dans l'Hexagone.
Pourquoi ???
🔓 La suite du présent texte est, à ce jour, placée en " accès restreint " et réservée à un cercle limité d’interlocuteurs, dans le cadre de discussions amiables actuellement engagées avec l’État et l’Assurance Maladie.
Il est précisé que le maintien de cette page en " accès libre ", sans occultation du reste du contenu, lors du lancement officiel d’ASSURMEYER en France, devra être interprété comme l’échec desdites discussions amiables.
Une telle situation impliquerait que les faits dénoncés n’ont fait l’objet d’aucune résolution et continuent de produire leurs effets, en toute discrétion, au détriment des intérêts des assurés français.
Dans l’intervalle, toute personne souhaitant obtenir des informations complémentaires relatives à la démarche amiable engagée, ou solliciter l’accès à l’intégralité du texte, est invitée à en faire la demande à l’adresse suivante :
contact@assurmeyer.fr
LA CONFIANCE DES FRANCAIS SE RESPECTE
MAIS ELLE SE MÉRITE AVANT TOUT !
Les paroles et les engagements s'envolent, mais les écrits, les podcasts et les actions restent.
À bon entendeur, salut !
