Après plusieurs années de recherche et développement (R&D), suivies d’une phase expérimentale menée de 2021 à 2022 sous l’enseigne pilote DEMEYER, l’idée d’associer prévention dentaire & courtage en assurance au sein d’un même modèle économique a été testée en conditions réelles selon une approche
Test & Learn (T&L). Cette expérimentation a permis d’évaluer plusieurs innovations en matière de prévention & d’assurance (cf.
article de presse).
Le lancement officiel du projet ASSURMEYER en France, fruit de cette T&L, était initialement envisagé dans la continuité de cette phase pilote.
Cependant, ce lancement demeure conditionné à deux prérequis majeurs :
1. La fin d’une concurrence déloyale persistante dans les marchés publics de prévention dentaire lancés tous les ans par l'Assurance Maladie sur l'ensemble du territoire national ;
2. La mise en œuvre effective du
second plan de prévention dentaire, comprenant cette fois-ci des actions concrètes en faveur des adultes, injustement discriminés lors du
premier plan lancé en 2007.
À ce jour, ces prérequis ne sont toujours pas opérationnels.
Le lancement d'ASSURMEYER dans l'Hexagone est donc ajourné.
Il est important de rappeler ici que la conception du premier plan français de prévention dentaire a été fortement influencée par un concurrent, à l’origine des solutions intégrées au programme M’T dents (source :
extrait podcast).
Depuis 1989, année de son expérimentation, ce programme repose principalement sur des actions de prévention primaire et secondaire ciblant uniquement les enfants dans un cadre scolaire.
Or, il est surprenant de constater que, plus de trente ans plus tard, les marchés publics de l’Assurance Maladie en matière de prévention dentaire continuent de s’inscrire strictement dans cette même logique : les enfants, et seulement eux, restent concernés, toujours en milieu scolaire.
Plus troublant encore, les appels d’offres de l’Assurance Maladie définissent des besoins qui correspondent, de manière quasi systématique, aux solutions commercialisées depuis les années 1980 par :
- un groupe privé sur le plan national, dont le concurrent à l’origine du programme M'T dents est aujourd’hui président d’honneur ;
- un concurrent dans les Hauts-de-France, filiale de 4 Caisse Primaire d'Assurance Maladie (CPAM) du nord.
Autrement dit, on n’est jamais mieux servi que par soi-même lorsqu’on est à la fois juge ET partie dans la conception d’un plan de prévention dentaire … qui fixe ensuite très précisément
la définition " des besoins " et " des solutions " attendues par l'Assurance Maladie pour passer chaque année ses commandes (publiques) de prévention dentaire.
Dans ce contexte, des discussions amiables sont actuellement en cours afin d’éviter le recours à des procédures judiciaires (pénale et civile concernant les dommages & intérêts) pour mettre un terme à une situation relevant de la
concurrence déloyale et du
favoritisme, et qui, depuis plusieurs années, limite sérieusement les chances aux candidats potentiels, avec des solutions innovantes, de participer loyalement aux appels d’offres de l’Assurance Maladie dans le secteur dentaire.
L’issue de ces échanges conditionnera les prochaines étapes du projet ASSURMEYER.
En attendant, ce site internet provisoire a été mis en ligne, avec des contenus textuels et graphiques également provisoires, afin de présenter les grandes lignes du projet à différents interlocuteurs institutionnels et professionnels.
La page
QUI SOMMES NOUS ? détaille les motivations à l’origine de la création d’un modèle économique disruptif, au croisement de la prévention dentaire et du courtage en assurance.
...
Afin que nos interlocuteur(rice)s au sein de l’État et de l’Assurance Maladie assument pleinement leurs responsabilités devant le peuple français, la page
Prévention dentaire en France : il est temps que cela se sache ! a été spécialement rédigée.
Elle a pour objectif d’exposer, de manière claire et détaillée, les dérives actuelles de la politique de prévention dentaire, et de les porter à la connaissance de l’opinion publique française aussi longtemps que nécessaire.
En effet, l'Etat ne peut s'engager auprès de l'OMS à élaborer
une nouvelle politique nationale de santé bucco-dentaire, sans tenir cet engagement à ce jour, tout comme l'Assurance Maladie ne peut expliquer aux Français
investir dans la prévention bucco-dentaire, et dans le même temps faire semblant que les innovations préventives proposées par ASSURMEYER n'existent pas, ou que les (mêmes) solutions proposées par nos concurrents depuis plus de 30 ans dans un cadre (uniquement) scolaire sont les seules à pouvoir bénéficier aujourd'hui des
100 millions € d'argent public destinés à la prévention dentaire en France.
Les paroles et les engagements s'envolent, mais les écrits, les podcasts et les actes restent.
À bon entendeur, salut !
Contact presse :
Gérald Demeyer
Président fondateur
📧
contact@assurmeyer.fr