
Après plusieurs années de recherche et développement (R&D), suivies d’une phase expérimentale menée de 2021 à 2022 sous l’enseigne pilote DEMEYER, l’idée d’associer prévention dentaire & courtage en assurance au sein d’un même modèle économique a été testée en conditions réelles selon une approche
Test & Learn (T&L). Cette expérimentation a permis d’évaluer plusieurs innovations en matière de prévention & d’assurance (cf.
article de presse).
Le lancement officiel du projet ASSURMEYER en France, fruit de cette T&L, était initialement envisagé dans la continuité de cette phase pilote.
Cependant, ce lancement demeure conditionné à deux prérequis majeurs :
1. La fin d’une concurrence déloyale persistante dans les marchés publics de prévention dentaire lancés chaque année par l'Assurance Maladie sur l'ensemble du territoire national ;
2. La mise en œuvre effective du
second plan de prévention dentaire, comprenant cette fois-ci des actions concrètes en faveur des adultes, injustement discriminés lors du
premier plan lancé en 2007.
À ce jour, ces prérequis ne sont toujours pas opérationnels, et les propositions de partenariat stratégique adressées aux responsables du ministère de la Santé ainsi qu’à ceux de l’Assurance Maladie en charge de la prévention dentaire continuent d’être, de manière pour le moins surprenante, refusées.
Le lancement d'ASSURMEYER dans l'Hexagone est donc ajourné.
Cette décision se révèle d’autant plus légitime aujourd’hui qu’il est particulièrement étonnant de constater l’attitude adoptée jusqu’à présent par l’Assurance Maladie. Celle-ci semble davantage se comporter en free rider, ou
passager clandestin, à l'égard d’ASSURMEYER, plutôt qu’en véritable partenaire constructif et solidaire, animé par la recherche de l’intérêt général et la protection de la santé des Français.
En effet, tout en s’abstenant pour l'heure de toute contribution financière, qu’il s’agisse d’une subvention ou d’une commande publique, certains responsables de l'Assurance Maladie, influencés depuis les années 1980 par un concurrent historique
(extrait podcast), semblent considérer qu’ils peuvent bénéficier sans contrepartie des investissements financiers, matériels et intellectuels supportés par ASSURMEYER.
Ces investissements comprennent aussi bien :
- les dépenses en R&D et T&L, entièrement supportés par les actionnaires d'ASSURMEYER, faute de tout soutien financier du ministère de la Santé ou de l’Assurance Maladie, notamment via des marchés publics dits de
pre-commercial procurement - PCP ou d' " achats publics avant commercialisation "
A.P.A.C (voir image ci-dessous) ;
- les dépenses à venir, indispensables au déploiement des solutions de prévention dentaire issues de cette R&D.
Dès lors, il apparaît légitime, à ce stade du projet et dans un contexte où les pouvoirs publics se sont engagés auprès de l'OMS à améliorer la santé publique orale en France, qu' ASSURMEYER puisse remplir son carnet de commandes avec l’État et/ou l’Assurance Maladie, pour garantir et poursuivre ses investissements dans l'intérêt des Français.

D'autant qu'une telle posture demeure non seulement difficile à comprendre, mais aussi inacceptable, dans la mesure où l’Assurance Maladie est la première bénéficiaire en France des investissements d'ASSURMEYER. Ce sont en effet ses comptes financiers qui profitent EN PREMIER des économies substantielles réalisées sur la réduction des soins dentaires curatifs et des maladies non transmissibles (MNT) associées, dès lors qu’une solution de prévention dentaire primaire se révèle efficace.

Dans ce contexte, des discussions amiables sont actuellement engagées avec le ministère de la santé et la CNAM afin d’éviter le recours à des procédures judiciaires.
L'objectif poursuivi est double :
- assurer la mise en œuvre rapide du second plan de prévention dentaire, conformément à l’engagement pris par l’État le 25 mai 2023, au bénéfice de l'ensemble de la population française, sans discrimination d'aucune sorte, puisqu'en France, le droit à la protection de la santé, y compris dentaire, est
un droit fondamental à valeur constitutionnelle pour tous les
(assurés sociaux) Français, sans distinction d’âge, d’état de santé, de niveau de revenus, d’éducation ou de résidence ;
- mettre un terme définitif, dans les marchés publics de prévention dentaire de l’Assurance Maladie, à une situation qui perdure depuis trop longtemps, et qui s’apparente à de la
concurrence déloyale ainsi qu'à des
atteintes à la probité, dans l'intérêt supérieur, avant tout, des (assurés & contribuables) Français.
L’issue de ces échanges déterminera les prochaines étapes du projet ASSURMEYER.
En attendant, ce site internet provisoire a été mis en ligne. Ses contenus, tant textuels que graphiques, sont volontairement limités afin de préserver nos
secrets d'affaires. L'objectif est de présenter succinctement les grandes lignes du projet à différents interlocuteurs institutionnels et professionnels.
La page
QUI SOMMES NOUS ? expose notamment les motivations qui ont conduit à la création d’un modèle économique innovant et disruptif, à la croisée de la prévention dentaire et du courtage en assurance.

Afin que nos interlocuteur(rice)s au sein de l’État et de l’Assurance Maladie assument pleinement leurs responsabilités devant le peuple français, la page
Prévention dentaire en France : il est temps que cela se sache !
L'objectif est d’exposer, de manière claire, argumentée et détaillée, les dérives de la politique de prévention dentaire menée ces 40 dernières années en France, et de les porter à la connaissance de l’opinion publique aussi longtemps que nécessaire.
Bien que le projet soit pour l’instant ajourné, il n’est en aucun cas abandonné. Cette page restera donc accessible sur le site internet d’ASSURMEYER lors du lancement officiel du projet en France, si les discussions amiables n'auront menées à rien, et que des procédures judiciaires doivent être engagées.
En effet, l'Etat ne peut s'engager auprès de l'OMS à élaborer
une nouvelle politique nationale de santé bucco-dentaire, sans tenir cet engagement, et sans qu'une action judiciaire soit engagée à ce sujet. De la même manière, l'Assurance Maladie ne peut expliquer aux Français
investir dans la prévention bucco-dentaire (...) en vue de diminuer durablement le recours de la population aux actes prothétiques et implantaires., et dans le même temps faire semblant que les innovations préventives proposées par ASSURMEYER n'existent pas, tout en continuant à favoriser exclusivement, avec le budget fléché d'environ
90 millions € d'argent public alloué chaque année à la politique de prévention dentaire en France, les (mêmes) solutions proposées par nos concurrents depuis plus de 30 ans dans un cadre (uniquement) scolaire.
Les paroles et les engagements s'envolent, mais les écrits, les podcasts et les actions restent.
À bon entendeur, salut !
Contact presse :
Gérald Demeyer
Président fondateur
📧
contact@assurmeyer.fr
